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1.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2266077

ABSTRACT

Introduction: SARS-COV-2 infection is a multisystem disease responsable of several symptoms that may persist after acute episode. Aim : To describe the evolution of symptoms and radiological lesions of patients affected by SARS-Cov-2. Method(s): It was a prospective study including patients admitted for moderate to severe SARS-Cov-2 pneumonoia and followed up at least 3 months (M) after discharge in the Pneumology Department of Charles Nicolle hospital of Tunis from October 2020 to January 2022. Result(s): We included 106 patients (44% female vs 56%male). The average age was 62+/-13 years[22-96years]. Tabacco smoking was present in 22%. Blood hypertension was the most frequent comrbidity(42%), followed by diabetes(35%), Obesity 'BMI>30Kg/m2' (14%), heart disease(12%) and asthma(7%). The major clinical signs were dyspnea (82%), asthenia (62%) and dry cough (57%). The average of Oxygene flow was 12L/mn+/-9L/mn. Chest CTscan was realised in 56% and had showed atypical appearance (peripheral basal ground glass) in 97% of cases. During the follow up, the major persistent symptoms were dyspnea (M3: 40%;M6:17%), dry cough (M3:16% ;M6:19%) and asthenia (M3: 19%;M6: 5%). Returning to normal activity was possible for 57% of patients. According to mMRCscale, dyspnea was evaluated at 4 in M3 and 0,6 in M6. Chest CT scan was realized in M3 and showed stability of lesions in 50% and regression in 21%. In M6, 52% of Chest CT scan were normal, 30% described persistence of lesions and 3.7% pulmonary fibrosis. Conclusion(s): After SARS-Cov2 acute infection, symptoms seem to persist months after discharge that can affect daily life of patients.

2.
Revue des Maladies Respiratoires Actualites ; 15(1):59-60, 2023.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-2182967

ABSTRACT

Declaration de liens d'interets: Les auteurs declarent ne pas avoir de liens d'interets. Copyright © 2022

3.
Revue des Maladies Respiratoires Actualites ; 15(1):208-209, 2023.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-2182946

ABSTRACT

Declaration de liens d'interets: Les auteurs declarent ne pas avoir de liens d'interets. Copyright © 2022

4.
European Respiratory Journal ; 58:2, 2021.
Article in English | Web of Science | ID: covidwho-1709380
5.
European Respiratory Journal ; 58:2, 2021.
Article in English | Web of Science | ID: covidwho-1709379
6.
European Respiratory Journal ; 58:2, 2021.
Article in English | Web of Science | ID: covidwho-1705814
7.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):143-144, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586626

ABSTRACT

Introduction L’infection à SARS-COV2 peut aller des formes bénignes aux sévères nécessitant l’hospitalisation. Son évolution au stade de syndrome de détresse respiratoire nécessite souvent le recours à la réanimation avec une mortalité élevée. Le but de cette étude était d’étudier les facteurs pronostiques de cette pneumonie. Méthodes Il s’agissait d’une étude rétrospective menée auprès des patients hospitalisés au service « COVID » de pneumologie de l’hôpital Charles Nicolle de Tunis, durant la période allant de septembre 2020 au juin 2021. Une évolution défavorable était définie soit par le recours à la réanimation soit par le décès intra-hospitalier. Résultats Trois-cent-huit patients étaient inclus dans cette étude. L’âge moyen était de 60±14 ans. Le sexe-ratio était de 1,23. Parmi eux, 75 (24,4 %) ont été transféré en réanimation et 82 (26,6 %) décédés. En analyse univariée, les facteurs associés au décès étaient l’âge (65 versus 58 ans ;p<0,001), le genre (p=0,09), les comorbidités (p=0,008), la saturation en oxygène (SaO2) (p<0,001), la fréquence respiratoire (FR) (p<0,001), la cyanose (p=0,004), la fréquence cardiaque (FC) (p<0,001), le taux de LDH (p<0,001), de troponine (p<0,001) et de CRP (p=0,014), et le recours à l’Optiflow (p=0,001). Aussi, le transfert en réanimation était significativement associé au genre (p=0,06), à l’obésité (p=0,05), la SaO2 (p<0,001), la PaO2 (p=0,016), la FR (p<0,001), la FC (p=0,002), le taux de lymphocyte (p=0,04), de LDH (p<0,001) et de CRP (p=0,005),à la durée d’hospitalisation (p=0,002) et au recours à la VNI (p=0,008) et l’Optiflow (p=0,001). En analyse multivariée, les facteurs indépendamment associés au risque de mortalité étaient l’âge (p=0,034 ;OR=1,02 [1,002–1,055]), le genre (p=0,036 ;OR=2,25 [1,054–4,816]), les comorbidités (p=0,031 ;OR=2,34 [1,083–5,060]), la SaO2 (AA) (p=0,002 ;OR=0,92 [0,871–0,969]), la FR (p<0,001 ;OR=1,19 [1,092–1,296]). Les facteurs prédictifs de transfert en réanimation étaient le genre (p=0,044 ;OR=2,23 [1,022–4,878]), l’obésité (p=0,01 ;OR=2,82 [1,279–6,252]), la FR (p=0,005 ;OR=1,15 [1,046–1,277]), le taux de LDH (p=0,04 ;OR=1,003 [1–1,006]) et lymphocyte (p=0,041 ;OR=0,998 [0,997–1]) et la durée d’hospitalisation (p=0,047 ;OR=1,047 [1,001–1,096]). Conclusion Nos résultats concordent avec la littérature. Le pronostic de la pneumonie à SARS-COV2 serait influencé par différents paramètres cliniques et biologiques, à prendre en considération afin de garantir la prise en charge optimale.

8.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):145, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586623

ABSTRACT

Introduction Le rapport polynucléaire neutrophile–lymphocytes (RPNL) est un marqueur de l’inflammation impliqué dans le pronostic de plusieurs pathologies inflammatoires. Peu d’études se sont intéressées à son impact sur la COVID. L’objectif de notre travail était d’étudier l’association entre le RPNL et la sévérité et le pronostic de la pneumonie à SARS-COV-2. Méthodes Il s’agissait d’une étude rétrospective incluant 308 patients hospitalisés au service de pneumologie de l’hôpital Charles Nicolle de Tunis pour une pneumonie au SARS-COV2 modérée à sévère entre les mois de septembre 2020 et juin 2021. Résultats Notre population était composée de 138 femmes et 170 hommes, avec un âge moyen de 60±14 ans. Une numération de la formule sanguine a été réalisée à l’admission chez tous les patients, ayant montré un taux médian de globules blancs à 7350 [1800–28 300], de PNN à 5670 [1220–25 600] et de lymphocytes à 1000el/mm3 [190–5100]. Le RPNL médian était de 5,40 [1,19–36,89]. Ce rapport était prédictif de sévérité initiale. Il était corrélé avec la fréquence respiratoire (p=0,01 ;r=0,14)) et les besoins en oxygène (p<0,0001 ;r=0,25) et négativement corrélé avec la saturation en O2 (p<0,0001 ;r=−0,23) et la PaO2 initiales (p=0,06 ;r=−0,16). De même, le RPNT était corrélé à la durée d’hospitalisation (p<0,0001 r=0,21) et associé à un taux plus élevé de mortalité (p=0,02) et de transfert en réanimation (p=0,021). Conclusion Notre étude a pu démontrer la corrélation entre le RPNL et la sévérité initiale et le pronostic de la pneumonie à SARS-COV-2.

9.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):247, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586588

ABSTRACT

Introduction L’embolie pulmonaire (EP) est un accident grave pouvant mettre en jeu le pronostic vital. Différents facteurs de risques sont actuellement bien connus, dont la COVID19. Toutefois, peu d’études se sont intéressées aux particularités de l’embolie au cours de l’infection SARS-COV2. L’objectif de notre travail était d’étudier les particularités cliniques et paracliniques de l’embolie pulmonaire au cours de l’infection à SARS-COV2. Méthodes Étude rétrospective incluant les patients hospitalisés pour EP, au service de Pneumologie de l’hôpital Charles Nicolle de Tunis, durant la période allant de juin 2017 à juin 2021. Nous avons réparti notre population en 2 groupes: G1 (EP avec COVID) et G2 (EP sans COVID). L’EP a été confirmée par un angioscanner thoracique. La COVID 19 a été confirmée par RT-PCR. Résultats Nous avons inclus 58 patients répartis en 35 hommes et 23 femmes, avec un âge moyen de 55±16 ans. L’embolie pulmonaire au cours de l’infection SARS-COV2 était associée à plus de comorbidités (p=0,025), en particulier le diabète (p=0,02) et l’obésité (p=0,023). De même, le groupe G1 rapportait plus de dyspnée (p=0,002) et de douleur thoracique (p=0,001) et avait une saturation en oxygène et une pression artérielle en oxygène plus basses (p=0,003, p=0,008). Aussi, l’EP compliquant une COVID 19 était associée à un taux plus élevé de D-Dimères (p=0,025) et de troponines (p=0,001). Cependant, aucune différence significative n’a été retrouvé entre les 2 groupes en termes de facteurs de risque thromboemboliques (p=0,48), ni de fréquence respiratoire ni cardiaque (p=0,53, p=0,64), ni de pression artérielle systolique (p=0,77). Aussi, les 2 groupes étaient comparables en termes de niveau de capnie (p=0,22) et la localisation de l’embolie (p=0,26). Conclusion L’embolie pulmonaire au cours de l’infection à SARS-COV2 semble présenter certaines particularités cliniques et paracliniques. Ces constatations nous pousseraient à adapter notre démarche diagnostique, depuis la suspicion clinique (scores de probabilité clinique) jusqu’à la confirmation diagnostique.

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